la maison vide
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Luc 11 : 24 Lorsque l’esprit impur est sorti de l’homme, il traverse des lieux arides, cherche du repos et, comme il n’en trouve pas, il dit : Je retournerai dans ma maison d’où je suis sorti ;
25 et, quand il arrive, il la trouve balayée et ornée.
26 Puis il s’en va et prend sept autres esprits plus mauvais que lui ; ils entrent et s’établissent là, et la dernière condition de cet homme devient pire que la première.
C’est l’Éternel qui est le véritable architecte de cette libération. D’abord, le puissant empereur Cyrus le Grand n’a fait qu’exécuter ses ordres. Ensuite, c’est l’Esprit de Dieu qui a agi dans le cœur des Israélites afin qu’un certain nombre soit motivé pour retourner en Judée. Finalement, c’est encore l’Éternel qui a suscité la générosité de tous les Juifs comme de leurs voisins perses afin que ce ne soit pas les mains vides que les colons regagnent leur terre ancestrale.
Jacques Iosti
La communion est la réponse de Christ à la solitude de la vie. La joie est sa réponse au vide, au néant de la vie.
Warren Wiersbe
Notre planète et ses occupants se trouvent devant un avenir plutôt terrifiant – bien pire que ce que le plus pessimiste des environnementalistes puisse imaginer.
John F. MacArthur
Dans les deux derniers chapitres de cette lettre, Paul va mettre l’accent sur l’une des pires conséquences du légalisme : il donne à la chair l’occasion de faire son œuvre. La Loi ne peut maîtriser la vieille nature. Cela explique pourquoi les groupements religieux légalistes connaissent tant de dissensions et de luttes internes (Galates 5.15) et s’adonnent souvent aux péchés de la chair (5.19)
Warren Wiersbe
Les Israélites étaient devenus pires que les Cananéens en ce qui concerne l’idolâtrie et le peu de respect qu’ils avaient pour la vie humaine.
Jacques Iosti
Les Juifs croient que la loi est le seul frein qui empêche le péché d’avoir libre cours et d’amener la destruction de Dieu sur la terre. Et ils ont raison, si ce n’était de la provision de Dieu. Étant donné la propension naturelle de l’homme à pécher, la seule façon de l’empêcher de lâcher entièrement la bride à ses pires passions était d’établir un système de lois qui mettaient des limites à ce qu’il pouvait faire et qui promettaient des peines suffisamment sévères pour le pousser à s’y soumettre.
John F. MacArthur
Néhémie est furieux contre les requins juifs qui profitent de la situation pour s’enrichir et le pire est qu’il s’agissait des notables et des chefs du peuple, ceux qui auraient dû manifester de la compassion envers les démunis. Le prêt à intérêt entre Israélites fut interdit par Moïse.
Jacques Iosti
Tout ça est quand même choquant. Dieu a permis que ce roi infâme commette les pires atrocités en toute impunité, pour ensuite lui faire grâce et exaucer sa prière de repentance. C’est dur à accepter, mais vu que ma compréhension du Dieu de l’univers est infinitésimale, je n’oserai pas mettre en doute sa sagesse infinie. Et puis si l’Éternel a su faire grâce à un homme aussi ignoble que Manassé, alors il y a de l’espoir pour n’importe qui, même pour la créature la plus vile et indigne de la terre.
Jacques Iosti
Il semble que le Seigneur ait renvoyé la balle à ses adversaires. Ils l’avaient accusé d’être possédé d’un démon. Il compare maintenant leur peuple à un homme temporairement délivré d’une possession démoniaque. Cela se vérifie dans l’histoire d’Israël. Avant la captivité, les Israélites avaient été possédés du démon de l’idolâtrie. L’exil les avait délivrés de cet esprit, car depuis cette époque, ils n’étaient plus jamais retombés dans ce péché. Leur maison avait été balayée et ornée, mais ils avaient refusé que le Seigneur Jésus y entre et en prenne possession. C’est pourquoi Il leur prédit qu’un jour prochain, l’esprit impur ramènerait avec lui sept autres esprits plus méchants que lui ; ils entreraient dans la maison et s’y établiraient. Jésus fait allusion aux formes abominables d’idolâtrie que pratiquera la nation juive pendant la période de la tribulation, lorsqu’elle reconnaîtra l’Antéchrist comme Dieu (Jn 5.43). La sanction qui frappera le peuple pour son péché sera pire que toutes celles que le peuple aura jamais subies.
William MacDonald (Christian author); Arthur L. Farstad
Lorsqu’on s’approche d’une décharge d’où s’échappe une fumée noire et qu’une odeur âcre vient vous chatouiller les narines, on est à peu près sûr que de vieux pneus sont en train de brûler. C’est désagréable, mais rien à côté de la chair qui se consume, ça, c’est le pire. Cette puanteur faisait partie des sacrifices continuels d’animaux, obligatoires sous la loi de Moïse. De plus, il y avait du sang répandu partout et sous le soleil, il tourne très vite et attire les mouches. Le spectacle était cruel et une horreur visuelle, olfactive et auditive, car les animaux terrorisés attachés sur l’autel beuglaient ou mugissaient à mort. Cette scène qui suscite le dégoût symbolise l’aversion de Dieu vis-à-vis des fautes et injustices commises par les Israélites et, par extension, les miennes. Mais ces sacrifices étaient nécessaires pour permettre aux Israélites de rencontrer Dieu.
Jacques Iosti