IL EST, DONC JE SUIS

ÊTRE OU NE PAS ÊTRE  •  Sermon  •  Submitted   •  Presented
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Nous continuons notre série de mesage intitulé : ÊTRE OU NE PAS ÊTRE.

Nous l’avions commencé il y a un mois.
Cette série est basée sur le fruit de l’Esprit dans Ga 3.16-21
En faisant cette série, mon objectif est que nous fassions un bilan ou une analyse sur nos oeuvres, nos pratiques, notre caractère.
Le but est de voir si nous sommes en adéquation avec ce que Dieu voudrait pour nous dans ces domaines.
En tant que croyants, notre désir n'est pas d'être catégorisés dans une religion, mais plutôt de révéler par notre vie, notre nature, nos actions, la nature du Seigneur à travers nous.

=> Le défi est d'être et non de paraître.

Comme Jésus le disait : « car c’est à son fruit que l’on reconnaît l’arbre. » Matthieu 12.33b
Nous avions vu la dernière fois le 1er chapitre de cette série que j’avais intitulé : Je ne suis pas ce que je suis (un disciple portant du fruit).
Le fruit est basé sur la vie car on parle du fruit de l’Esprit de Dieu et non de l’esprit charnel.
Il est d’abord présent en Dieu, qui souhaite nous le communiquer.
Nous avions aussi vu que le fruit de l’Esprit est le résultat direct de la vie de Christ apportée au croyant par l’Esprit, « Le fruit de justice » qui est par Jésus-Christ (Ph 1.11),

=> car il résulte d’une vie de communion intime et constante avec Christ.

Pour illustrer cela, j’avais pris l’exemple de l’éponge et de l’eau.
La perte de cette communion et par la même notre interdépendance au Seigneur, explique souvent notre impuissance à porter du fruit ;
tout le travail du chrétien, si grand soit-il, et même l’exercice des dons spirituels, ne peuvent jamais remplacer la marche avec Dieu.
=> Plus nous aspirons à demeurer attaché à Christ et plus nous allons lui ressembler.

CHAPITRE 2 : IL est, donc je suis. (SLIDE 2)

TEXTE D’INTRODUCTION :

2 Pierre 1.3–4 (BDS) SLIDE 3
Par sa puissance, en effet, Dieu nous a donné tout ce qu’il faut pour vivre dans la piété, en nous faisant connaître celui qui nous a appelés par la manifestation de sa propre gloire et l’intervention de sa force. Ainsi, nous bénéficions des dons infiniment précieux que Dieu nous avait promis. Il a voulu, par ces dons, vous rendre conformes au caractère de Dieu, vous qui avez fui la corruption que les mauvais désirs font régner dans ce monde.
Nous avions vu prédemment que le fruit est d’abord présent chez Dieu, qui souhaite nous le communiquer.
C’est exactement ce que Pierre nous dit dans ce texte.
Dieu nous a donné à tout ce qu’il faut pour vivre dans la piété, c’est à dire une vie qui soit en accord avec la volonté de Dieu.
Il précise que Dieu a voulut nous rendre conformes à son caractère. D’autres versions disent : participants à la nature divine.

VOIR ILLUSTRATIONS DIAPO 4 ET 5

Cela est seulement possible par la nouvelle naissance.
En étant participant ou conforme à la nature divine, nous sommes victorieux sur le péché et son influence sur nos vies. Nous ne sommes plus esclaves de celui-ci.
C’est ainsi que nous pouvons avancer sereinement sur le chemin de la vie.
Être conforme ou participant à la nature divine ne fait pas de nous des êtres divins mais des êtres ayant une capacité à se détacher du péché pour laisser la place à la nature divine dans nos vies.
Et c’est exactement ce que nous enseigne le fruit de l’Esprit.
Comme je l’ai dit la dernière fois, aspirer au fruit de l’Esprit n’est pas une option pour le disciple de Christ mais une obligation si nous voulons être à son image.

QUE POSSEDE NOTRE DIEU ET QU’IL DÉSIRE NOUS TRANSMETTRE ?

I) L’AMOUR

L’amour est sans doute le plus grand de tout ce qui compose le fruit de l’Esprit.
Il occupe dans l’énumération de Ga 5.22-23 la première place.
L’amour, dans sa perfection, semble englober presque tout le fruit de l’Esprit.
Définir l’amour, fruit de l’Esprit, semble compliqué humainement car il résulte d’un amour parfait.
Paul, dans 1 Co 13 s’en rapproche beaucoup car il écrit sous l’inspiration de l’Esprit.
1 Jn 4.8 nous dit que Dieu est amour. Vouloir définir l’amour parfait équivaut à vouloir définir Dieu. Cela reviendrait à vouloir définir l’infini.
Le but ici est de définir l’amour parfait qui vient de Dieu et qui nous rend conforme ou participant à sa nature.
Ce n’est que les prémices de ce que nous connaitrons dans l’éternité.
L’amour, fruit de l’Esprit, que Dieu veut nous communiquer n’est pas le fruit de nos efforts ou ne de notre caractère charnel mais d’une vie spirituelle reçue d’en haut.
Ses possibilités sont glorieuses et étonnantes car surnaturelle.

Définition : Actes sacrificiels et immérités pour aider une personne dans le besoin.

Ce sont des attributs divins à la base.
Lorsque Dieu se révelà à Moïse, il se révela comme un Dieu riche en amour. Exode 34.6 “il passa devant lui en proclamant : L’Eternel, l’Eternel, un Dieu plein de compassion et de grâce, lent à se mettre en colère, et riche en amour et en fidélité !”
C’est aussi son amour qui fut le moteur du salut de l’homme comme Jean le dit dans Jean 3.16“Oui, Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils, son unique, pour que tous ceux qui placent leur confiance en lui échappent à la perdition et qu’ils aient la vie éternelle.”
C’est un amour qui se sacrifie et qui est immérités pour les autres.

a) C’est un amour qui nous pousse à aimer nos ennemis.

L’être humain a tendance à aimer uniquement ce qui lui plait, ce qui est à lui et ce qui lui est favorable.
C’est un amour parfoits égocentrique. Nous donnons pour en recevoir en retour.
Mais l’amour fruit de l’Esprit dépasse tout cela et se focalise sur l’autre. Ce qui pousse même à aimer nos ennemis.
Jésus l’enseigne dans Matthieu 5.46–47
Matthieu 5.46–47 (BDS)
Si vous aimez seulement ceux qui vous aiment, allez-vous prétendre à une récompense pour cela ? Les collecteurs d’impôts eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? Si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens n’agissent-ils pas de même ?
Ce n’est pas un amour centré sur nos ennemis mais un amour tellement dénué d’égocentrisme qui nous pousse vers l’autre jusqu’à nos ennemis. Il n’y a plus de considération.
Aimer nos ennemis ne signifie pas aimer ses actes et être d’accord avec le mal qu’il ou elle fait. Mais plutôt aimer l’homme, la personne qui a aussi besoin de Dieu dans sa vie.
Jésus est en l’exemple lorsqu’à Gogotha il dit : “Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font.”
Le St Esprit peut manifester ce même amour en nous, simple mortel comme pour l’exemple d’Etienne qui priait alors que ses ennemis le lapidaient : “Seigneur, ne leur impute pas ce péché.”
Encore une fois, ce n’est pas le fruit du travail sur notre caractère, mais le fruit de l’oeuvre de l’Esprit en nous qui est le résultat d’une vie pieuse et dans l’intimité constante avec le Seigneur.

b) C’est un amour qui ne change pas

Combien d’entre nous ont dit cette phrase : “Je t’aimerais toujours”.
Nous constatons malheureusement l’inverse. Le cours des années et les circonstances de la vie ont raisons parfois de notre amour.
Pourquoi ? Parce que l’amour que nous manifestons est avant tout charnel.
L’amour fruit de l’Esprit, n’est pas charnel mais surnaturel et ne change pas dans le temps. C’est cette amour dont Pierre a bénéficié après le reniement. Il fut entièrement restauré alors qu’il a quand même renié le fils de Dieu.
C’est ce même amour qui a animé Barnabas lorsqu’il retint auprès de lui le jeune Marc, un disciple vacillant qui devint par la suite un disciple utile pour Dieu.
C’est un amour qui dépasse les circonstances, les faits, les difficultés pour se focaliser sur la personne qui en a besoin.
Un amour qui pardonne, qui ne juge pas.
Êtes-vous prêt à être revetus de cette amour ?

c) C’est un amour qui se sacrifie.

L’amour humain se repproche le plus de l’amour de Dieu sur ce point.
Naturellement, l’être humain sincère, est prompt à se sacrifier pour l’être aimer.
“Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis.”
Mais l’amour fruit de l’Esprit fait mieux.
Romains 5.7–8 (BDS)
A peine accepterait-on de mourir pour un juste ; peut-être quelqu’un irait-il jusqu’à mourir pour le bien. Mais voici comment Dieu nous montre l’amour qu’il a pour nous : alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.
L’amour divin accomplit le plus grand des sacrifices et ce pour l’humanité tout entière.
L’amour humain se contente de se sacrifier pour l’être aimé, connue et non pour des inconnus.
L’amour divin se sacrifie même pour l’inconnu.
Sommes-nous prêts pour le sacrifice ? Le sacrifice de notre temps, de notre zone de confort, de nos idées, de notre culture pour que l’autre soit touché par Dieu.
Vous avez entendu dire que “L’amour est aveugle”. Ce n’est vrai que pour l’amour charnel.

L’amour, fruit de l’Esprit, a les yeux ouvers sur tout, agit en conséquence et continue toujours d’aimer.

Paul va adresser aux Colossiens cette exhortation : Col 3.14
Colossiens 3.14 (BDS)
Et, par-dessus tout cela, revêtez-vous de l’amour qui est le lien par excellence.
L’amour est le lien par excellence qui nous uni en tant qu’église.
Parfois notre grande diversité de personnalités et de caractères sont si présentes que l’union parait impossible.
Mais l’amour fruit de l’Esprit peut accomplir cette oeuvre en nous car il est le lien par excellence.

II) LA JOIE

Définition : Un bonheur intérieur qui ne dépend pas des circonstances extérieures.
Une des caractérisque du chrétien né de nouveau est sa capacité à démontrer sa joie au quotidien.
Cette joie est parfois reconnu par notre entourage.
Tout le monde aspire à la joie. C’est un des curseurs d’une vie épanouie.
Nous pouvons la rechercher par toute sorte de moyens humains (par le rire, par les activités, par nos relations,…)
Mais une des caractéristique de cette joie naturelle c’est qu’elle est éphémère. Elle ne dure généralement pas dans le temps.
Elle est accompagné d’un mélange mystérieux de tristesse.
Proverbes 14.13 (BDS)
Le rire peut masquer la tristesse du cœur, et la gaieté peut finir en chagrin.
Elle est toujours accompagné d’un sentiment d’insécurité.
La Bible nous révèle que la joie fait partie de la nature divine et Dieu souhaite nous transmettre sa joie.
Ce n’est pas une joie naturelle mais une joie spirituelle, surnaturelle. C’est la joie fruit de l’Esprit.
C’est une joie pure et éternelle qui se révèle de plusieurs manière chez le disciple de Christ.

a) C’est la joie du salut, du pardon des péchés

C’est un sentiment de délivrance d’un fardeau intolérable.
Nous l’avons tous éprouvée lorsque nous sommes venus à Christ.
Le geolier de Philippes l’a ressenti aussi dans Ac 16.34 et l’eunuque éthiopien dans Ac 8.39

b) C’est la joie du salut des autres.

Il n’y a rien qui doit le plus réjouir un disciple de Christ que de voir d’autre personnes accéder au salut.
Actes 15.3 (BDS)
L’Eglise pourvut à leur voyage. Ils traversèrent la Phénicie et la Samarie, racontant comment les non-Juifs se tournaient vers Dieu. Et tous les frères en eurent beaucoup de joie.
Lorsque Paul et Barnabas racontèrent dans les assemblées la conversion des païens, ils causèrent une “grande joie” à tous les frères réunis.
C’est ce qui se passe lorsque nous voyons des personnes s’engager dans les eaux du baptême. Elles représentent ces personnes qui ont reçu le salut et qui s’engagent avec Dieu.
C’est une joie qui fait Écho a ce qui se passe dans le ciel.
Luc 15.7 (BDS)
Je vous assure qu’il en est de même au ciel : il y aura plus de joie pour un seul pécheur qui change profondément, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de changer.
Le Seigneur a promis à ses disciples de leur donner sa propre joie.
Jean 15.11“Tout cela, je vous le dis pour que la joie qui est la mienne vous remplisse vous aussi, et qu’ainsi votre joie soit complète.”
Jean 17.13“A présent, je retourne auprès de toi, et je dis tout cela pendant que je suis encore dans le monde, pour qu’ils possèdent en eux cette joie qui est la mienne, une joie parfaite.”
Cette joie est composée de 3 éléments essentiels :
L’accomplissement de la volonté de son Père (Jn 4.34) En obéissant à Dieu et en rejetant le péché.
La recherche des “brebis perdues” (Lc 15.5) En étant témoins de Christ
La joie dans la sagesse et l’amour de son Père. (Lc 10.21)

III) LA PAIX

Définition : L’harmonie dans toutes les relations
C’est une des composantes du fruit de l’Esprit que nous aimerions voir dans notre monde actuellement.
La paix n’a jamais été aussi lointaine pour les nations.
La paix, fruit de l’Esprit n’est pas le fruit de la volonté humaine mais divine.
C’est une paix surnaturelle qui est le résultat d’une union parfaite avec le Père.
Jésus disait à ses disciples dans Jn 14.27
Jean 14.27 (BDS)
Je pars, mais je vous laisse la paix, c’est ma paix que je vous donne. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. C’est pourquoi, ne soyez pas troublés et n’ayez aucune crainte en votre cœur.
La paix que Jésus nous donne est différente de celle du monde.
C’est cette paix qui animait Jésus pendant son ministère terrestre :
lorsqu’il y eu la tempête sur le lac et que lui dormait,
devant la foule qui voulait le lapider, il traverse simplement,
face à la paix de Jésus, les démons tremblaient.
C’est ce même fruit de l’Esprit que Jésus désire nous transmettre.
Mais ce n’est pas si simple au quotidient. Pourquoi ?
Parce notre champ de bataille est dans notre esprit.
Les luttes les plus dures se déroulent généralement dans notre esprit.
Beaucoup de personnes considèrent que l’esprit humain est toujours la victime impuissante des circonstances !
Ce n’est pas exact !
Dans Romains 8.6 Paul dit littérallement :
Romains 8.6 (BDS)
Car ce à quoi tend l’homme livré à lui-même mène à la mort, tandis que ce à quoi tend l’Esprit conduit à la vie et à la paix.
Romains 8.6 (LSG)
Et l’affection de la chair, c’est la mort, tandis que l’affection de l’esprit, c’est la vie et la paix;
Nous pourrions modifier ce verset comme suit :
“l’attachement de l’homme livré à lui-même mène à la mort, tandis que l’attachement à l’Esprit conduit à la vie et à la paix.”
Si nous voulons la paix, notre attention doit être portée aux choses de l’Esprit.
Comment aspirer aux choses de l’Esprit ? Tout ce qui nous rapproche de Dieu (notre temps intime avec Lui, notre lecture biblique, notre communion fraternelle avec nos frères et soeurs, notre service pour Dieu…)
Si nous laissons le monde accaparer notre esprit, nous ne devons pas nous étonner de perdre la paix fruit de l’Esprit.

Voici 2 moyens pour garder notre esprit dans la paix de Dieu :

1) “Apporter toutes choses à Dieu par la prière avec actions de grâces”

Philippiens 4.6–7 (BDS)
Ne vous mettez en souci pour rien, mais, en toute chose, exposez vos demandes à Dieu en lui adressant vos prières et vos supplications, tout en lui exprimant votre reconnaissance.
Alors la paix de Dieu, qui surpasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera votre cœur et votre pensée sous la protection de Jésus-Christ.

2) Aimer la Parole de Dieu en pratique.

Le Psalmiste disait ceci dans :
Psaumes 119.165 (BDS)
Grande est la paix | de celui qui aime ta Loi :
aucun obstacle | ne le fait trébucher.
Beaucoup de commentateur considère Daniel comme l’auteur de ce Psaume. Si cela est exact, alors cela nous révèle la source de sa paix lorsqu’il était dans la fausse aux lions.
La Parole de Dieu est la seule source accessible à tous qui nous révèle la nature de Dieu et qui conforte le croyant dans sa foi.
Combien la lire et la mettre en pratique nous conduirait vers cette paix fruit de l’Esprit.

Mais cette paix de Dieu n’est pas seulement une bénédiction personnelle pour chacun de ses enfants ; elle est un héritage de notre vie commune dans l’Église :

Colossiens 3.15 (BDS)
Que la paix instaurée par Christ gouverne vos décisions. Car c’est à cette paix que Dieu vous a appelés pour former un seul corps. Soyez reconnaissants.
Cette paix est notre héritage commun en Christ. Il est de notre devoir de la préserver avec soin.
Hébreux 12.14 BDS
Faites tous vos efforts pour être en paix avec tout le monde et cultivez la sainteté sans laquelle nul ne verra le Seigneur.

L’un des moyens d’y parvenir est d’éviter toute controverse inutile….

2 Timothée 2.23 BDS
Refuse les spéculations absurdes et sans fondement ; tu sais qu’elles suscitent des querelles.
2 Timothée 2.23 LSG
Repousse les discussions folles et inutiles, sachant qu’elles font naître des querelles.

et de la calomnie, de la médisance :

Romains 1.29–32 (BDS)
Ils accumulent toutes sortes d’injustices et de méchancetés, d’envies et de vices ; ils sont pleins de jalousie, de meurtres, de querelles, de trahisons, de perversités. Ce sont des médisants, des calomniateurs, des ennemis de Dieu, arrogants, orgueilleux, fanfarons, ingénieux à faire le mal ; ils manquent à leurs devoirs envers leurs parents ; ils sont dépourvus d’intelligence et de loyauté, insensibles, impitoyables.
Ils connaissent très bien la sentence de Dieu qui déclare passibles de mort ceux qui agissent ainsi. Malgré cela, non seulement ils commettent de telles actions, mais encore ils approuvent ceux qui les font.
Calomnie : Fausses accusations grave
Médisance : Action de dire un mal de quelqu'un ou de quelque chose qui est réel dans le but de lui nuire.

IV) CONCLUSION :

Dieu désire faire de nous des participants à sa nature divine.
Il est, donc je suis.
Il désire que nous ayons :
l’amour fruit de l’Esprit qui se tourne vers l’autre jusqu’à nos ennemis,
La joie fruit de l’Esprit acquise à la croix, durable et qui nous permet de nous réjouir pour ceux qui se tourne vers le Seigneur
La paix fruit de l’Esprit qui n’est pas dépendante de la nature humaine mais la paix dont Christ était revetu.
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