Une parole d'autorité
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Transcript
Dans les années 1880, en Arizona, le shérif John Behan, bien qu’il oit souvent considéré comme un personnage ambigu de l'histoire du Far West, une anecdote démontre comment l'autorité de la parole, portée par un homme en position de pouvoir, peut désamorcer des situations explosives sans qu'une seule balle ne soit tirée.
Un jour, une querelle éclata entre deux familles influentes de la région : les Clanton et les McLaury. La dispute portait sur des terres et du bétail, et rapidement, la tension monta au point où les deux camps étaient prêts à en venir aux armes. La ville entière était sur le qui-vive, chacun s'attendant à un bain de sang.
Le shérif Behan, bien conscient des risques d'un tel affrontement, décida d'intervenir. Il se rendit seul au saloon où les hommes des deux clans se faisaient face, prêts à dégainer. Dans un calme impressionnant, Behan s'avança au centre de la pièce, là où la tension était la plus forte, et déclara d'une voix ferme : "Cette querelle n'aura pas lieu aujourd'hui. Par la loi de cet État, je vous ordonne de ranger vos armes et de quitter cet endroit. Toute personne qui désobéira à cet ordre sera arrêtée sur-le-champ."
Face à l'autorité du shérif, les hommes, bien qu'armés jusqu'aux dents, hésitèrent. La réputation de Behan comme homme de loi strict, mais juste, fit pencher la balance. Lentement, un par un, les hommes rangèrent leurs armes et quittèrent le saloon, laissant la dispute en suspens. Grâce à l'autorité de sa parole, Behan avait évité un affrontement sanglant.
Une autre anecdote historique qui illustre bien l'autorité de la parole d'un shérif remonte à la même période, mais cette fois-ci, la scène se passe à Dodge City, au Kansas. Cette ville était l'une des plus turbulentes de l'Ouest, où les conflits éclataient souvent entre cowboys, trappeurs, et autres personnages du Far West.
Le shérif Wyatt Earp, l'une des figures les plus légendaires de cette époque, est connu pour avoir maintenu l'ordre par sa simple présence et la force de sa parole. Un jour, une bande de hors-la-loi bien armés, connue pour semer la terreur dans les environs, est arrivée en ville. Leur réputation les précédait, et les citoyens de Dodge City s'attendaient à ce que la violence éclate.
Earp, pourtant seul face à cette bande, s'est avancé calmement dans la rue principale, avec son étoile de shérif brillamment épinglée sur sa poitrine. Sans dégainer son arme, il s'est approché du chef des hors-la-loi et lui a dit simplement : "Vous et vos hommes devez quitter cette ville immédiatement. Il n'y aura pas de trouble ici aujourd'hui."
L'autorité de Wyatt Earp ne résidait pas seulement dans son habileté avec une arme, mais aussi dans sa réputation d'homme juste et inflexible, un homme dont la parole était la loi. Les hors-la-loi, bien que supérieurs en nombre, ont senti qu'affronter cet homme serait une erreur fatale. En silence, ils ont monté leurs chevaux et ont quitté Dodge City, laissant les citoyens stupéfaits par le pouvoir de la parole d'un seul homme.
Cette anecdote, qu'elle soit un peu embellie par les récits de l'époque ou non, montre à quel point l'autorité de la parole peut être puissante, surtout lorsqu'elle est portée par un homme de principes comme Wyatt Earp.
Alors, bien entendu, mon but, ce matin, n’est pas de m’arrêter, sur ces hommes, qui ont pourtant bien existé, mais d’aborder un principe, naturel et spirituel.
Vous connaissez sûrement, cette expréssion : La peur du Gendarme.
Pour quelle raison, car le gendarme détient une autorité légale, attribué par l’Etat de la France, et il peut, bien qu’aujourd’hui, malgré son pouvoir reste limité, dans le cadre des lois sanctionner !
Ces hommes, autrefois, appelés Sherif, aux USA, détenaient un pouvoir donner par le comté qu’il représentait, ou bien l’Etat … Ils avaient un pouvoir important, pouvant mettre en prison Le shérif, c’était le « shire reeve », un magistrat local chargé de maintenir la paix au nom du roi. Le shérif devait être garant du « bien » contre le « mal ». Dans une Amérique qui s’est construite sur la dichotomie « bons garçons versus méchants bandits”
Bref, les hommes ont compris, le principe de pouvoir, savez-vous que le Seigneur à donné à son église également un pouvoir ?
Lisons ce premier verset :
13 Il monta ensuite sur la montagne; il appela ceux qu’il voulut, et ils vinrent auprès de lui. 14 Il en établit douze, pour les avoir avec lui, 15 et pour les envoyer prêcher avec le pouvoir de chasser les démons.
Il y a plusieurs choses ici à relever,
- Christ à appeler des hommes (selon sa propre volonté)
Christ à appeler des hommes (selon sa propre volonté)
Il les a établis pour les avoir avec lui. La Parole Vivante traduit ainsi : et appelé auprés de lui ceux qu’il avait choisi comme collaborateurs.
Il les appelle apôtres, ce qui signifie “envoyé”, envoyé par Qui ? Dieu lui-même.
Et il leur donne deux pouvoirs, prêcher, et puissance contre les démons.
Dans l’évangile de Luc, il y a un ajout
1 Jésus, ayant assemblé les douze, leur donna force et pouvoir sur tous les démons, avec la puissance de guérir les maladies. 2 Il les envoya prêcher le royaume de Dieu, et guérir les malades.
Comment cela, se manifeste-t-il ? Par la prédication d’une Parole celle de Dieu !
18 Je vous le dis en vérité, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel. 19 Je vous dis encore que, si deux d’entre vous s’accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux. 20 Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux.
11 Maintenant voici, la main du Seigneur est sur toi, tu seras aveugle, et pour un temps tu ne verras pas le soleil. Aussitôt l’obscurité et les ténèbres tombèrent sur lui, et il cherchait, en tâtonnant, des personnes pour le guider.
6 Alors Pierre lui dit: Je n’ai ni argent, ni or; mais ce que j’ai, je te le donne: au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche.
Introduction
Introduction
Le titre "Une parole d'autorité" est effectivement bien formulé et correct en français. Il est clair et concis. Cependant, selon le contexte, il peut prêter à diverses interprétations.
Ce que cela évoque :
Légitimité et pouvoir : Le terme « parole d’autorité » fait immédiatement penser à quelqu’un qui détient une légitimité ou un pouvoir particulier, qu’il soit moral, institutionnel ou hiérarchique. Cela pourrait se rapporter à une figure d’autorité (un chef, un parent, un enseignant) dont les mots ont du poids et de l’impact sur les autres. Discours imposant ou incontestable : Une « parole d’autorité » peut aussi évoquer des paroles qu’on ne remet pas en question, un discours ferme, peut-être même définitif, où l’autorité s’exerce à travers le langage. Cela peut renvoyer à l’idée de la loi, des ordres, ou des déclarations officielles. Rôle de la parole dans l'exercice du pouvoir : Ce titre met l’accent sur l’importance du langage dans l’autorité. Il peut s’agir d’un discours qui influe sur les comportements ou les décisions, montrant à quel point la parole peut être un vecteur de commandement ou de persuasion. Nuance entre autorité et autoritarisme : Cela pourrait aussi soulever une réflexion plus philosophique sur la différence entre l'autorité bienveillante et respectée, et l'autoritarisme, où la parole devient un outil de domination.
En résumé
Le titre « Une parole d’autorité » est fluide en français et évoque un discours qui détient un pouvoir incontestable ou influent. Selon le contexte, il pourrait aborder la question de l’influence des mots, du pouvoir hiérarchique, ou même la nature de l’autorité elle-même.
Cela pourrait convenir à un texte sur la politique, la morale, l’éducation, ou même sur une réflexion plus philosophique sur le pouvoir du langage. Qu'en pensez-vous, et dans quel contexte envisagez-vous d’utiliser ce titre ?
Nous avons déjà vu d’où vient cette autorité.
L’effet dans le monde spirituel
L’effet dans le monde spirituel
Nous l’avons dit la semaine dernière notre combat est un combat spirituel, nous luttons contre un ennemi invisible mais bien présent, et tellement agissant !
Cet ennemi, n’a comme pouvoir dans nos vie, que celui qu’on lui concède !
8 Dans quelque ville que vous entriez, et où l’on vous recevra, mangez ce qui vous sera présenté, 9 guérissez les malades qui s’y trouveront, et dites-leur: Le royaume de Dieu s’est approché de vous. 10 Mais dans quelque ville que vous entriez, et où l’on ne vous recevra pas, allez dans ses rues, et dites: 11 Nous secouons contre vous la poussière même de votre ville qui s’est attachée à nos pieds; sachez cependant que le royaume de Dieu s’est approché. 12 Je vous dis qu’en ce jour Sodome sera traitée moins rigoureusement que cette ville-là. 13 Malheur à toi, Chorazin! malheur à toi, Bethsaïda! car, si les miracles qui ont été faits au milieu de vous avaient été faits dans Tyr et dans Sidon, il y a longtemps qu’elles se seraient repenties, en prenant le sac et la cendre. 14 C’est pourquoi, au jour du jugement, Tyr et Sidon seront traitées moins rigoureusement que vous. 15 Et toi, Capernaüm, qui as été élevée jusqu’au ciel, tu seras abaissée jusqu’au séjour des morts. 16 Celui qui vous écoute m’écoute, et celui qui vous rejette me rejette; et celui qui me rejette rejette celui qui m’a envoyé. 17 Les soixante-dix revinrent avec joie, disant: Seigneur, les démons mêmes nous sont soumis en ton nom. 18 Jésus leur dit: Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. 19 Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l’ennemi; et rien ne pourra vous nuire. 20 Cependant, ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis; mais réjouissez-vous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux.
12 Il me dit: Daniel, ne crains rien; car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t’humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues, et c’est à cause de tes paroles que je viens. 13 Le chef du royaume de Perse m’a résisté vingt et un jours; mais voici, Micaël, l’un des principaux chefs, est venu à mon secours, et je suis demeuré là auprès des rois de Perse.
Qui peut y prétendre ?
Qui peut y prétendre ?
Je dirai d’abord, tout véritable disciple de Christ !
Ensuite, ceux et celles qui sont remplis du Saint-Esprit,
8 Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.
18 L’Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres; [Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé,] 19 Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés, Pour publier une année de grâce du Seigneur.
Ceux qui grandissent dans la sanctification et honorent la Parole de Dieu dans leur vie :
19 C’est pourquoi ainsi parle l’Eternel: Si tu te rattaches à moi, je te répondrai, et tu te tiendras devant moi; Si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est vil, tu seras comme ma bouche. C’est à eux de revenir à toi, Mais ce n’est pas à toi de retourner vers eux.
9 Ils viennent en pleurant, et je les conduis au milieu de leurs supplications; Je les mène vers des torrents d’eau, Par un chemin uni où ils ne chancellent pas; Car je suis un père pour Israël, Et Ephraïm est mon premier-né.
Contre quoi aucune parole ne peut rien.
Contre quoi aucune parole ne peut rien.
Contre Israël, Je bénirai ceux qui te béniront
Contre un enfant de Dieu,
28 S’ils maudissent, toi tu béniras; S’ils se lèvent, ils seront confus, Et ton serviteur se réjouira.
8 Comment maudirais-je celui que Dieu n’a point maudit? Comment serais-je irrité quand l’Eternel n’est point irrité?
20 Voici, j’ai reçu l’ordre de bénir: Il a béni, je ne le révoquerai point. 21 Il n’aperçoit point d’iniquité en Jacob, Il ne voit point d’injustice en Israël; L’Eternel, son Dieu, est avec lui, Il est son roi, l’objet de son allégresse. 22 Dieu les a fait sortir d’Egypte, Il est pour eux comme la vigueur du buffle. 23 L’enchantement ne peut rien contre Jacob, Ni la divination contre Israël; Au temps marqué, il sera dit à Jacob et à Israël Quelle est l’œuvre de Dieu. 24 C’est un peuple qui se lève comme une lionne, Et qui se dresse comme un lion; Il ne se couche point jusqu’à ce qu’il ait dévoré la proie, Et qu’il ait bu le sang des blessés. 25 Balak dit à Balaam: Ne le maudis pas, mais du moins ne le bénis pas.