Une mère qui sera louée

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Proverbes 31:29-31

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1001 Illustrations that Connect Illustration 510: Disrespecting Moms

Eighty-six percent of mothers think they don’t get enough respect, and 80 percent agree that moms who stay home get even less. Even so, 77 percent of mothers who work full-time would rather stay home if they could. That’s according to a poll by Family Circle magazine.

Moms in both camps are defensive: 73 percent of those at home think working moms look down on them, while 66 percent of those who work feel the same way about moms who are at home.

The upside of the research is that while 70 percent of mothers say that being a mom is more demanding than they expected, 92 percent say it is also more rewarding.

—Melissa August and others, “Mother’s Day,” Time (May 6, 2002)

I. Une femme supérieure v. 29

Anna Maria Reeves-Jarvis of Grafton, West Virginia, organized a club of women to nurse wounded soldiers from the North and South during the Civil War. After the war, Reeves-Jarvis started “Mothers’ Friendship Days” to reconcile families that had been divided by the conflict.
Throughout her life, Reeves-Jarvis modeled the ideals of Victorian motherhood. She gave up her dreams of college to care for an older husband and four children. She bore the loss of seven other children with grace. She taught Sunday school in the local Methodist church for twenty years and stayed active in benevolent work.
Her death in 1905 devastated her daughter Anna. She honored her mother’s memory by initiating a holiday honoring all mothers. Mother’s Day was first celebrated in 1908 in Grafton (where Anna grew up) and Philadelphia (where she lived as an adult). Later, in a resolution passed May 8, 1914, the U.S. Congress officially established the second Sunday in May as Mother’s Day.
—Elesha Coffman, “Mom, We Salute You,” Christian History Newsletter (May 10, 2002)
Larson, Craig Brian, and Phyllis Ten Elshof. 1001 Illustrations That Connect. Grand Rapids, MI: Zondervan Publishing House, 2008. Print.
My three young children love to get up early and watch the garbage truck. They love watching the waste hauler empty the can and work the lever that causes the truck to compact the trash.
My three young children love to get up early and watch the garbage truck. They love watching the waste hauler empty the can and work the lever that causes the truck to compact the trash.
My three young children love to get up early and watch the garbage truck. They love watching the waste hauler empty the can and work the lever that causes the truck to compact the trash.
On the morning I turned thirty-five, my husband said to the children with a smile, “Kids, do you know what makes today so special?”
On the morning I turned thirty-five, my husband said to the children with a smile, “Kids, do you know what makes today so special?”
On the morning I turned thirty-five, my husband said to the children with a smile, “Kids, do you know what makes today so special?”
Our five-year-old rushed past my outstretched arms to the window and yelled, “It’s garbage day!”
Our five-year-old rushed past my outstretched arms to the window and yelled, “It’s garbage day!”
Our five-year-old rushed past my outstretched arms to the window and yelled, “It’s garbage day!”
—Sheri B., Portage, Michigan, “Life in Our House,” Christian Parenting Today (March–April 2000)
—Sheri B., Portage, Michigan, “Life in Our House,” Christian Parenting Today (March–April 2000)
—Sheri B., Portage, Michigan, “Life in Our House,” Christian Parenting Today (March–April 2000)
Larson, Craig Brian, and Phyllis Ten Elshof. 1001 Illustrations That Connect. Grand Rapids, MI: Zondervan Publishing House, 2008. Print.
Larson, Craig Brian, and Phyllis Ten Elshof. 1001 Illustrations That Connect. Grand Rapids, MI: Zondervan Publishing House, 2008. Print.
Larson, Craig Brian, and Phyllis Ten Elshof. 1001 Illustrations That Connect. Grand Rapids, MI: Zondervan Publishing House, 2008. Print.
Ce chapitre des Proverbes peut être un passage difficile ou encore encourageant, selon la perspective! Une femme pourrait le lire et se dire, c’est difficile de se comparer à la femme qui est décrite dans ces versets! Elle semble tout faire, et tout faire bien; comment atteindre ce niveau!
Mais, lorsque Dieu nous donne un modèle à suivre, ou un idéal à imiter, c’est parce qu’il nous donne aussi la force ou la capacité de le faire. La femme de Proverbes 31, c’est une image de ce que Dieu peut produire dans la vie d’une femme qui est dévouée à lui. C’est Dieu qui produit toutes ces qualités chez elle; ce n’est pas sa propre force à elle.
Ce passage nous montre aussi la force et la puissance de la femme qui investit sa vie pour le Seigneur.
Les anglophones ont une expression qui dit, “La main qui berce le berceau dirige le monde.” Il y a des éléments de vérité dans ces dictions. Et Proverbes 31 le détaille, sous l’inspiration du Saint-Esprit. La femme décrite ici n’est pas faible, mais elle est influente, respectée, digne et elle laisse sa marque dans ce monde.

I. Une femme supérieure v. 29

À première vue, on peut se dire, mais qui est cette femme qui surpasse toutes les autres? Est-ce que cette femme dont le roi Lemuel parlait était incomparable, et personne ne pouvait atteindre son niveau?
Je crois plutôt que le Saint-Esprit nous montre, messieurs, comment nous devrions percevoir nos épouses et comment nous devrions leur parler, et aussi comment nous devrions parler d’elles.
Dans l’esprit de Lemuel, toutes comparaisons avaient été arrêtées. Il ne regardait pas les autres femmes pour comparer, je crois que pour lui le dossier était clos. Cette femme vertueuse qui semble être son épouse les surpassait toutes, point final.
La Bible dit clairement aux hommes comment ils doivent traiter leur épouses. Le standard dans Ephésiens 5, c’est de traiter son épouse, comme Christ traite l’Église. C’est un standard extrêmement élevé, vous en conviendrez!
La Bible nous dit aussi de les “laver par l’eau de la parole”…c’est à dire d’utiliser la Parole de Dieu pour les aider dans leur sanctification. Tout mari a un ministère de la Parole.
Ephésiens 5:25-26

Maris, que chacun aime sa femme, comme Christ a aimé l’Eglise, et s’est livré lui-même pour elle, 26afin de la sanctifier en la purifiant et en la lavant par l’eau de la parole,

Mais la Bible ne dit pas seulement cela. Dans Proverbes 31, nous voyons que nous devons aussi les encourager et les bâtir par nos paroles.
Lemuel dit, “Mais toi, tu les surpasses toutes.” Il lui dit, à elle. Il ne fait pas que parler d’elle, oui il le fait, mais il lui parle à elle.
Il ne lui parle pas pour lui dire ses défauts; à ses yeux elle a plus de qualités que toutes les autres. Il lui parle pour lui dire à quel point elle surpasse toutes les autres femmes pour lui.
Messieurs, ne négligeons pas notre ministère verbal envers nos épouses! Oui, l’instruction de la parole, mais aussi “le ministère du compliment”. Le ministère de la louange envers elle.

II. Une femme spirituelle v. 30

Deux choses dans ce verset sont mentionnées comme étant vaines. Malheureusement, c’est un peu ce que le monde aujourd’hui projète comme idéal pour les femmes.
Il faut se rappeler que l’ennemi désire détruire. Il veut détruire les hommes et aussi les femmes. En fait il a commencé par Ève, si on note bien! La femme fut la première cible de Satan.
Je ne veux pas exagérer le parallèle entre la tentation d’Éve dans Genèse 3 et ce que le monde projette comme idéal pour la femme aujourd’hui…mais Satan a dit à Ève qu’elle pourrait améliorer sa vie si elle se transformait. Il a dit à Ève, “Si tu fais ceci, ta vie changer pour le mieux.” Évidemment, il mentait.
Mesdames, la prochaine fois que le monde vous lance un message sur votre apparence physique, sur votre apparence vestimentaire…et qu’il veut élever ces choses comme étant l’essentiel, citez Proverbes 31:30!
Les femmes qui ont marqué l’histoire ne l’ont jamais fait à cause de leur apparence physique. Les femmes qui ont transformé la vie des gens autour d’elles ne l’ont jamais fait par leur beauté. Ce qui distingue une femme, ce n’est pas son corps. Ce qui distingue une femme ne peut être vu à l’oeil. C’est sa relation avec Dieu.
Une femme qui change le cours de la vie des gens, qui le fait pour l’éternité, c’est la femme qui craint l’Éternel. Celle qui entretient une vibrante relation avec le Seigneur. C’est elle qui est la femme d’exception.
On pourrait dire que cette femme a mis en ordre ses priorités. Ce n’est pas qu’elle n’est pas belle; ce n’est pas qu’elle ne démontre pas de grâce. Mais elle priorise sa relation avec le Seigneur.
Vous savez, toute femme peut être une femme d’exception. Dieu n’est pas comme le monde. Le monde présente un idéal aux femmes, et parfois une femme peut se dire que cet idéal ne la décrit pas. Mais Dieu crée toute femme avec la possibilité d’être une femme d’exception. Une femme qui, aux yeux de ceux qui ont une perspective éternelle, “les surpasse toutes”.
“La grâce” ici parle du charme. Une femme peut avoir de l’habileté pour charmer, par sa personnalité, son regard, etc. Mais cela est trompeur. Ce n’est pas ce qui distingue une femme des autres.
“La beauté” est vaine. C’est à dire que c’est vide. Ça ne dure pas. Combien d’actrices d’Hollywood sont reconnues pour leur beauté? Pourtant, dans 15 ans personne ne parlera d’elles. Leurs noms seront oubliés. C’est une vanité, comme Salomon l’expliquera dans Ecclésisates.
Après deux fausses qualités, l’auteur met en contraste la vérité. Ce qui met une femme à part des autres. C’est sa crainte de l’Éternel.
La beauté n’attire pas le respect. Le charme ou la grâce non plus. Mais une femme qui craint Dieu, qui marche selon ses commandements, c’est elle qui recevra l’approbation.
Michée 6:8

On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien;

Et ce que l’Eternel demande de toi,

C’est que tu pratiques la justice,

Que tu aimes la miséricorde,

Et que tu marches humblement avec ton Dieu.

Pour toute l’humanité, y inclus les femmes, c’est là ce que le Créateur demande de nous.
C’est également le seul attribut qui est indiscutable. La beauté, c’est extrêmement subjectif. Dans une culture, on trouve quelque chose de beau, dans une autre c’est autre chose. Mais une femme qui craint Dieu reçoit le respect.
1 Pierre 3:3-4

Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d’or, ou les habits qu’on revêt, 4mais la parure intérieure et cachée dans le cœur, la pureté incorruptible d’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant Dieu.

La femme qui craint Dieu est aussi celle qui laisse un héritage après elle. On ne peut laisser sa beauté à d’autres. On ne peut laisser son charme derrière soi dans ce monde. Mais on peut passer le bâton de la crainte de l’Éternel à nos enfants!
Une maman spirituelle ne veut pas tant voir ses enfants bien faire que de les voir faire le bien.
La Bible contient une prédiction. On pourrait dire une promesse, mais je vais appeler cela une prédiction. La femme qui recevra des paroles de louange n’a pas besoin d’être plus jolie que les autres ou plus charmante que les autres. Celle qui recevra la louange, c’est celle qui craint l’Éternel.
Un homme peut dire à une femme qu’elle est belle. L’humain peut commenter le charme d’une femme. Mais le commentaire surprême ne touchera pas ces sujets-là.
Romains 2:29

Mais le Juif, c’est celui qui l’est intérieurement; et la circoncision, c’est celle du cœur, selon l’Esprit et non selon la lettre. La louange de ce Juif ne vient pas des hommes, mais de Dieu.

Savez-vous que Dieu peut louer les gens? Pas louer dans le sens d’adorer, mais louer dans le sens de faire ressortir les vertus. Certaines personnes auront droit à des louanges, des compliments si vous voulez, de la part de Dieu. Comme il l’avait fait pour Job, en demandant si quelqu’un était comparable à lui. Comme Elie et Enoch, qui ont reçu le compliment de ne pas avoir à passer par la mort pour aller au paradis.
À tout le moins, lorsque cette vie sera terminée, et que nous serons devant Dieu, certaines femmes recevront des “louanges” de la part de Dieu. Ce seront celles qui auront craint l’Éternel. La beauté ne sera pas considérée. La grâce ne sera pas prise comme critère. Dans le plus important jour de l’existence, la crainte de l’Éternel sera la critère de Dieu.

III. Une femme à souligner v. 31

Enfants, maris, n’hésitez pas à souligner le bon travail d’un femme qui craint l’Éternel. Cette femme qui surpasses les femmes que l’humanité dit “belles”, cette femme qui accomplit par la puissance de Dieu ce qui est bien, celle qui fait profiter la famille du fruit de ses labeurs, récompensez-la.
Le passage ne dit pas comment récompenser. Je sais une chose: une journée par année appelée Fête des Mères, c’est beaucoup trop peu.
Comment récompenser? Je vous laisser répondre par vous-mêmes. Vous savez ce qu’elle aime. Vous savez ce qui lui communiquerait votre appréciation et votre amour. Mais assurez-vous de la récompensez.
En fait, ça me semble être un commandement, non? “Récompensez-la”; c’est à l’impératif.
Donc, si je suis marié à une femme vertueuse, et je le suis!, et que je ne la récompense pas pour le fruit de son travail, je ne fais pas ce que Dieu me demande de faire dans sa parole.
Aussi, prenez les occasions pour la louer, c’est à dire parler d’elle en bien et dire à quelle point vous êtes bénis par qui elle est et aussi par ce qu’elle fait.
Conclusion
Mesdames, vous pouvez faire fi de tout ce que le monde dit sur la beauté ou sur le charme; ce qui compte c’est ce que Dieu dit. Et faire ce que Dieu dit amène le vrai bonheur et sa récompense à lui.
Une chose est importante: de craindre de l’Éternel et d’investir votre vie pour lui!
Et à vous mesdames, qui craignez l’Éternel…merci! Je ne trouverais jamais les mots pour décrire l’impact que vous avez sur nous tous.
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