Sermon Tone Analysis

Overall tone of the sermon

This automated analysis scores the text on the likely presence of emotional, language, and social tones. There are no right or wrong scores; this is just an indication of tones readers or listeners may pick up from the text.
A score of 0.5 or higher indicates the tone is likely present.
Emotion Tone
Anger
0.07UNLIKELY
Disgust
0.1UNLIKELY
Fear
0.09UNLIKELY
Joy
0.19UNLIKELY
Sadness
0.13UNLIKELY
Language Tone
Analytical
0.1UNLIKELY
Confident
0UNLIKELY
Tentative
0UNLIKELY
Social Tone
Openness
0.17UNLIKELY
Conscientiousness
0.13UNLIKELY
Extraversion
0.45UNLIKELY
Agreeableness
0.6LIKELY
Emotional Range
0.16UNLIKELY

Tone of specific sentences

Tones
Emotion
Anger
Disgust
Fear
Joy
Sadness
Language
Analytical
Confident
Tentative
Social Tendencies
Openness
Conscientiousness
Extraversion
Agreeableness
Emotional Range
Anger
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Être un chrétien devrait nous rendre différents.
Évidemment, nous avons tous vu le phénomène: des gens qui répètent à qui mieux mieux qu’ils sont chrétiens, qui vont même à l’église, mais qui, en dehors des heures de réunion, ne sont pas trop différents des gens qui ne sont pas sauvés.
Un domaine où nous devons être transformés, c’est dans le domaine du pardon.
En fait, le pardon peut faire toute la différences entre une vie de misère causée par le péché et une vie abondante comme Christ veut nous donner.
La raison pour laquelle nous pouvons être enfants de Dieu, c’est parce que Dieu se plait à pardonner.
Personne ne peut aller au ciel sans pardon.
Personne ne peut être béni sans pardon.
Et ce pardon est disponible pour tous ceux qui se repentent et qui mettent leur foi en Christ.
Mais, ayant reçu ce pardon, nous devons aussi être disposés à offrir le pardon à d’autres également.
I. Les choses à pardonner vont arriver.
v.1-2
Tout le monde va se faire mal.
Tôt ou tard, quelque chose a vous faire mal.
C’est certain.
Plus que ça, quelqu’un va nous faire mal.
Vous dites peut-être, “C’est trop tard, je suis déjà blessé(e).
Profondément à part de ça.
Je peux t’assurer que je ne fais pas exception à la règle.
Je ne suis même pas rendu à l’âge adulte, et j’ai déjà des choses dans ma vie qui font mal.”
Si jusqu’à date, votre vie va super bien, et que personne ne vous a jamais fait trop mal, ça va malheureusement changer.
Bon, j’espère que rien de “grave” ne va vous arriver, mais tout le monde ici va devoir apprendre à faire quelque chose: pardonner.
Y’a deux sortes de chrétiens que je connais: ceux qui pardonnent et ceux qui ne pardonnent pas.
Difficile d’affirmer qu’une personne a tout pardonné et qu’une autre n’a rien pardonné, mais en gros, c’est ça.
Soit tu es une personne qui a appris à pardonner, ou tu es une personne qui ne sait pas trop pardonner.
Quand j’étais au collège biblique, un de mes amis proches s’appelait Jerry.
Jerry était plus vieux que les autres étudiants; il avait savué plus tard dans la vie.
Jerry était un des gars les plus drôles que j’ai rencontré de ma vie.
Des fois, il nous faisait tellement rire que ça faisait mal au ventre.
Il n’essayait même pas.
Il était super-intelligent, avait un vocabulaire incroyable, il servait Dieu dans l’église; tout le monde l’aimait.
Mais on a tous nos défauts.
Lui il en avait deux: ses pensées et ses paroles n’étaient pas toujours pures, et il était incroyablement rancunier.
Après que Melissa et moi nous soyons fiancés, ma relation avec lui a commencé à se détériorer.
Il a commencé à faire des blagues ou dire des choses que je ne pouvais pas tolérer, et je lui ai fait savoir.
Ça a refroidi notre amitié.
Quand je ne lui pas demandé de jouer de rôle dans la cérémonie à notre mariage, il ne l’a pas pris du tout.
Et puis une fois il a appelé chez nous une couple de semaines après notre mariage et il a dit des choses à ma femme et moi que je ne vais pas répéter.
Je ne voulais pas qu’il appelle et fasse peur à ma femme quand je n’étais pas à la maison, alors je lui ai dit, “Si jamais tu as affaire à me parler, tu vas m’appeler au bureau, mais là tu n’appelles plus jamais ce numéro.”
Il était furieux.
Il a tout fait pour salir ma réputation, il appelé à peu près tous les amis que je m’étais fait à l’école biblique pour parler en mal de moi.
Chaque fois que j’en rencontrais un, il me disait, “Wo, qu’est-ce qui s’est passé entre Jerry et toi!
Il te déteste assez pour te tuer!”
C’est resté là.
Et resté là.
Et resté là.
Je n’aurais pas du laisser ça là, mais je vais y revenir tantôt.
Pour le moment, je vais me contenter de vous raconter la fin de l’histoire.
À peu près 10 ans après, Jerry est tombé gravement malade, et il était mourant à l’hôpital.
Une des dernières choses qu’il a demandé au gens près de lui c’était de trouver mon numéro et de me faire venir à l’hôpital pour qu’il puisse me demander pardon.
Mais ils n’ont pas réussi à me faire venir à temps, et il est mort avant que je puisse le voir.
Ça m’a fait mal qu’on ait jamais pu être réconciliés.
Mais de ce que peux comprendre, ça lui a fait encore plus mal.
Ceux qui pardonnent font une des meilleures choses que je connaisse.
C’est bon premièrement parce que ça plait à Dieu, mais c’est bon aussi pour notre vie, c’est même bon pour notre santé, c’est bon pour tout.
L’homme qui a de la sagesse est lent à la colère,
Et il met sa gloire à oublier les offenses.
Le verset dit que si tu es sage, tu vas faire ton gros possible pour ne pas t’accrocher aux mauvaises choses qui t’ont été faites.
Si ça c’est vrai (et, oui, la Bible est vraie)…le contraire doit aussi être vrai.
S’accrocher à ce qui nous a été fait serait insensé; ça serait de la folie.
Pourtant, s’accrocher et faire payer les gens…ça semble logique!
Si tu me fais mal, je vais te faire mal.
Si tu parles en mal de moi, attends d’entendre ce que vais dire toi.
Mais quand on le fait, on se fait mal davantage.
Remarquez que Dieu est amplement capable de s’occuper de ceux qui nous font mal.
Jésus commence le chapitre en disant que la personne va souffrir pire que le noyade.
Le péché, ça ne reste jamais impuni, et Dieu est amplement capable de nous venger.
II.
Le plus grand danger, ce n’est pas ce qui m’est fait, mais c’est que je deviens (par ma réponse/réaction).
v. 3
Donc, il est certain que quelque chose va vous arriver que vous devrez pardonner.
Mais remarquez ce que Jésus dit au verset 3, “Prenez garde à vous-mêmes.”
Il ne dit pas, “Faites attention pour ne pas vous faire blesser”; il a déjà précisé au verset 1 que ça va arriver.
Mais il dit en somme, “Faites attention à vous-mêmes lorsque vous vous faites blesser.”
Faites attention que votre vie ne soit pas endommagée, handicapée ou ruinée par comment vous allez réagir à ce qui vous est fait.
Le thème du camp, c’est: “Le pardon, une puissance qui libère et guérit.”
C’est tout à fait vrai.
Tu peux guérir, si tu es un enfant de Dieu.
Dieu veut guérir ton mal.
Mais si tu te mets toujours le doigt dans le bobo, et que tu ne permets pas à Jésus le Grand Médecin de te guérir, tu vas devenir quelque chose que tu ne veux pas devenir.
Tu ne deviendras jamais ce que Dieu t’a créé pour être.
Pour être tout ce que Dieu veut que tu sois, tu dois apprendre à pardonner.
Il le faut.
C’est sur que des choses difficiles vont arriver.
Mais c’est ta réponse à ces choses qui vont faire de toi une personne forte ou une personne démolie.
Je connais trop, beaucoup trop, de chrétiens qui sont amers.
Qui sont constamment furieux.
Que ont de la misère à avoir des bonnes relations avec les autres.
Des fois tu entends même dans leur voix, ou tu vois sur leur visage, tout ce que la vie leur a fait.
Puis, tu vois aussi des gens joyeux, des gens sont en paix.
Puis tu commence à les écouter parler, et tu es étonné d’entendre tout ce qu’ils ont eu à vivre dans cette vie.
Proverbes 19:11
L’homme qui a de la sagesse est lent à la colère,
Et il met sa gloire à oublier les offenses.
Le verset dit que si tu es sage, tu vas faire ton gros possible pour ne pas t’accrocher aux mauvaises choses qui t’ont été faites.
Si ça c’est vrai (et, oui, la Bible est vraie)…le contraire doit aussi être vrai.
S’accrocher à ce qui nous a été fait serait insensé; ça serait de la folie.
Je n’oublierai jamais une petite scène qui est arrivée aux funérailles de mon grand-père.
La famille de mon père vient de la région de Joliette, dans Lanaudière.
On est au salon mortuaire et plein de gens défilent pour nous souhaiter leur sympathies, quand un homme est venu parler à ma tante et à mes oncles.
Puis mon père est allé le voir et a dit, “Salut, je suis Louis.”
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