Le principe de la dîme
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Expliquer qu’il est toujours important de lire les Écritures pour soi. Plusieurs charlatans veulent tordre les Écritures pour leur propre profit. D’autres, en ignorant les Écritures, désobéissent à Dieu est s’attirent son châtiment. Mais nous devons être comme les béréens: ().
Plusieurs faux prophètes se disent prédicateurs de la Bible, même s’ils ne le sont pas du tout. Et ils prennent beaucoup d’argent à des gens crédules. Cela fait penser à beaucoup de gens, même des chrétiens, que toute discussion d’argent à l’église est une arnaque ou une stratégie. Mais le problème est que la Bible en parle, et en parle beaucoup, donc on doit en parler! Mais lorsqu’on en parle selon la Bible, ce n’est pas pour générer des revenus pour le prédicateur, non, c’est pour une raison: glorifier et honorer Dieu.
Luc de la Rochellière est un chanteur québécois qui avait écrit une chanson où il se moque des prédicateurs évangéliques. Il met tout le monde dans le même panier et dit qu’ils sont tous après l’argent. J’ignore quel était son arrière-plan chrétien, mais il était clairement amer et moqueur!
Mon pasteur est un homme fort beau et blanc (anh anh anh!)
Aux yeux brillants a la bouche pleine de dents (Ouais)
Un homme moral qui n'aime pas les pédales (Amoral)
Qui a reçu tous les dons de l'esprit (Il a dit)
Sauvez mon âme
Sauvez mon âme
Sauvez mon âme
Sauvez mon âme Hé
Alléluia!
Oh oh oh
Mon pasteur va commencer son discours (Comme toujours!)
Nous parlera de Dieu et son amour (Beau discours)
Nous dira que la vie n'est pas sur terre (quel enfer)
Qu'il faut se priver ou bien on est damné (hé hé)
Mon pasteur vit dans la belle grande maison (du seigneur)
Il roule dans la cadillac de Dieu (Oui mon vieux)
C'est pour lui qu'il a quitte son travail (bonne raison)
Il a besoin d'argent pour continuer (Sa mission)
Sauvez mon âme
Sauvez mon âme
Sauvez mon âme
Sauvez mon âme hé!
La dîme est une image de l’Évangile. C’est une image de la foi, et c’est une image de la grâce. C’est une image d’une relation, d’un échange. C’est un échange inégal, dont une seule des parties est réellement bénéficiaire. Un grand montant est donné à celui qui en a le plus besoin, et un moindre montant est donné à celui qui n’en a pas besoin.
Personnellement, j’ai appris enfant à donner la dîme et les offrandes. Et je peux témoigner que même si je n’ai jamais eu un emploi hautement rémunéré, j’ai toujours vu la main de provision de Dieu dans ma vie.
Oui, il y aura toujours des gens qui voudront tirer un profit de l’Évangile. Et c’est terrible. Mais ça fait une autre chose terrible: c’est que ça rend les chrétiens mal à l’aise de parler d’argent, alors que si nous déshonorons Dieu financièrement, sa main de bénédiction peut nous être enlevée.
La dîme est une image de l’Évangile. C’est une image de la foi, et c’est une image de la grâce. C’est une image d’une relation, d’un échange. C’est un échange inégal, dont une seule des parties est réellement bénéficiaire. Un grand montant est donné à celui qui en a le plus besoin, et un moindre montant est donné à celui qui n’en a pas besoin.
La foi est plus petite que la grâce, mais même une petite foi peut avoir accès à une grande grâce. Mais le principe de l’échange foi vs. grâce est omniprésent dans les Écritures. L’homme met sa foi en Dieu, et Dieu déverse sa grâce sur l’homme.
I. L’invitation de la part de Dieu v. 7
I. L’invitation de la part de Dieu v. 7
L’invitation de Dieu, c’est le rétablissement d’une relation. Dieu désire ardemment avoir une proche relation avec l’homme.
Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier.
Toute personne qui se dit enfant de Dieu doit désirer avoir une relation avec Dieu. Si quelqu’un ne désire pas avoir une relation avec Dieu, il y a lieu de se demander si la personne connaît bel et bien Christ.
Dieu est fidèle, lui qui vous a appelés à la communion de son Fils, Jésus-Christ notre Seigneur.
1 Corinthiens 1.
Le sujet de ce matin ce n’est en fait que l’aspect financier de notre relation avec Dieu.
Ma relation avec Dieu, ma communion avec lui, elle a un aspect de salut, c’est certain! Je me suis tourné vers lui par le foi et il m’a gratuitement donné sa grâce!
Ma relation avec Dieu a un aspect de direction, alors que le Saint-Esprit me dirige par la Parole.
Ma relation avec Dieu a un aspect de communications, dans la Parole et aussi dans la prière.
Ma relation avec Dieu a forcément aussi un aspect financier, et c’est ça que nous parlons ce matin.
Dieu invite son peuple à “revenir”. v. 7 Son peuple d’était clairement écarté de Dieu et ils étaient loin du Seigneur comme résultat.
Dans ce passage, le peuple de Dieu veut jouer au chat et à la souris avec Dieu. Dieu leur dit quelque chose, et la réponse est toujours, “Ah ouin? On a fait ça nous? Quand? Comment?”
Mais même devant le déni de son peuple, Dieu fait une offre: réconcilions-nous. Évidemment, cette réconciliation dépasse le domaine des finances, mais ça en faisait partie intégrante.
Dans la question de l’argent, Dieu dit, “Revenez à moi financièrement, et je reviendrai à vous financièrement.”
II. L’accusation de la part de Dieu v. 8
II. L’accusation de la part de Dieu v. 8
Le ton est très dur. Dieu leur dit, “Vous me trompez.” Mais le peuple répond dans le dialogue, “En quoi t’avons-nous trompé?”
C’est une question à laquelle Dieu répond sans détour. Son peuple l’a trompé dans les dîmes et dans les offrandes.
Donc, Dieu s’attendait à deux choses de la part de son peuple: 1) des dîmes, er 2) des offrandes.
La dîme
La dîme
Le concept est simple, clair, et net. Il signifie un dixième.
Avant même la loi de l’Ancien Testament, cette exigence est claire. Même du temps d’Abraham, bien avant la fondation du peuple d’Israël, on apportait à Dieu la dîme de son revenu.
Béni soit le Dieu Très-Haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains! Et Abram lui donna la dîme de tout.
Ce n’était rien de nouveau ou de novateur. Même dans d’autres peuples païens, on donnait la dîme de ses revenus à son dieu. Jacob avait promis la dîme à Dieu dans . La loi de Moïse était claire et précise: le peuple de Dieu devait donner la dîme au Seigneur. C’est à dire donner à Dieu 10% de ses revenus.
Et Dieu n’a jamais changé d’idée. Jésus a dit beaucoup de choses négatives sur les pharisiens. Mais il a dit en passant qu’ils faisaient une chose de bien: la dîme! Malheureusement, ils négligeaient les autres choses.
Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et que vous laissez ce qui est plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité: c’est là ce qu’il fallait pratiquer, sans négliger les autres choses.
Ma part financière dans ma relation avec Dieu implique la dîme. Si je ne donne pas 10% de mes revenus à Dieu, il me dit que je le trompe. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est Dieu!.
Les offrandes
Les offrandes
Dieu fait une distinction entre la dîme et les offrandes. La dîme est un du.
Mais même lorsque je lui ai donné 10% de mes revenus, Dieu s’attend à des offrandes également. Pour ma femme et moi, cela prend surtout la forme d’offrandes missionnaires, ou offrandes par la foi, mais aussi des fois pour des choses spéciales et occasionnelles.
III. La conséquence de la part de Dieu v. 9
III. La conséquence de la part de Dieu v. 9
Le Seigneur leur fait comprendre que leur état est lié directement au fait qu’ils ne donnent pas leurs dîmes et leurs offrandes à Dieu. Le résultat, ou la conséquence, c’est qu’ils sont sous la malédiction de Dieu.
Nous comprenons par les versets 10 et 11 que leurs vignes ne donnaient plus de raisins. Leurs champs ne donnaient pas une bonne récolte. Leur pays n’était plus un pays de délices.
La raison est donnée au versets 8 et 9. C’est parce qu’ils avaient eu la mauvaise idée de voler Dieu.
Je crois sincèrement que plusieurs chrétiens ont des problèmes financiers parce qu’ils n’ont pas honoré Dieu par la dîme. Et selon la Bible, lorsque je trompe Dieu dans la dîme, je m’ouvre à des conséquences.
Êtes-vous frappé par la malédiction? Je parle dans le domaine financier. Si vous avez l’habitude de tromper Dieu dans les dîmes et les offrandes, c’est la place où l’on doit commencer pour trouver des réponses.
On entend de plus en plus d’annonces à la radio pour des services de redressement financiers. Consolidation de dettes. Arrangements avec créanciers. Faillite, Etc. Ils disent que le premier pas c’est d’appeler. Et selon ce qu’on entend, il y a un énorme besoin pour ces genres de services.
C’est compréhensible. Les foyers sont endettés par-dessus la tête. Les gens nagent dans les problèmes financiers. Mais la solution pour un enfant de Dieu, ce n’est pas les dettes; c’est Dieu.
Si vous ne retenez qu’une chose de ce message, la voici: La solution à votre argent, ce n’est pas les dettes, c’est Dieu.
Dieu peut bénir. Dieu peut aider. Dieu peut intervenir. Dieu peut ouvrir les écluses des cieux. Dieu peut faire de grandes choses pour ses enfants, même au niveau de l’argent.
Parfois on entretient cette pensée, “Seigneur bénis ceux qui peuvent donner et bénis ceux qui ne peuvent pas donner.” Toute personne qui reçoit un revenu quelconque, que ce soit un salaire ou une allocation quelconque du gouvernement, peut donner à Dieu.
IV. La solution de la part de Dieu v. 10
IV. La solution de la part de Dieu v. 10
IV. La solution de la part de Dieu v. 10
IV. La solution de la part de Dieu v. 10
Le verset 10 va à contre courant. En fait j’ai déjà du nager à contre-courant à cause de ce verset par le passé.
Notre pensée logique est: Si Dieu me bénit, j’aurait de quoi donner.
Mais Dieu ne pense pas comme nous. Il dit, “Donne et je te bénirai.” C’est tout le contraire de ce que nous pensons souvent.
La maison du trésor c’était le Temple, et c’est là qu’ils devaient apporter leurs dîmes pour le Seigneur. C’est pour cela que j’ai toujours fait la même chose. Bien avant que je sois pasteur, j’apportais la dîme et les offrandes à la maison de Dieu.
Celui qui donne afin qu’il y ait de la nourriture dans la maison de Dieu, Dieu s’assure qu’il y ait du pain dans leur maison. C’est ça que le verset enseigne.
La solution c’est d’essayer le plan de Dieu. De mettre Dieu à l’épreuve et voir s’il a raison!
La solution à une saine gestion financière pour un chrétien, ça commence forcément avec la part qui revient au Seigneur. Lorsque je suis obéissant dans cela, Dieu me promet de s’occuper de moi.
V. La promesse de la part de Dieu v. 11
V. La promesse de la part de Dieu v. 11
Mais la réponse de Dieu n’est pas toujours un sac d’or qui tombe du ciel! En fait c’est plutôt rare.
La promesse de Dieu est d’arrêter, d’empêcher ou d’amenuiser celui qui détruit notre bienfait. Il ne promet pas de rendre riche, mais il promet d’enlever des éléments qui grugent notre bien-être financier.
Honnêtement, je n’ai pas les moyens de ne pas donner la dîme. Je n’ai pas les moyens de tromper l’Éternel. J’ai trop besoin de lui! J’ai trop besoin qu’il menace celui qui me dévore, qu’il empêche la destruction de ce pour quoi j’ai travaillé!
Un exemple: Cette semaine, ma belle-mère devait faire réparer sa voiture. Ça faisait deux ans qu’elle vivait avec un problème d’automobile, mais devant passer un test d’émissions du gouvernement, elle n’avait plus le choix. Elle devait faire réparer. On lui avait dit que ça serait 2000 ou 3000$. Elle n’avait simplement pas les moyens.
Trois fois cette semaine, nous avons prié ensemble pour cette situation, afin que Dieu pourvoir miraculeusement. Ayant prié, elle est allée chez le garagiste vendredi matin. Elle nous a rappelé. Ils allaient pouvoir faire la réparation pour....$400!
Des fois Dieu empêche que nous soyons dévorés, parce que nous avons été fidèles envers lui dans les dîmes et dans les offrandes.
VI. La réputation de la part de Dieu v. 12
VI. La réputation de la part de Dieu v. 12
Dieu ne leur promettait pas d’être le pays le plus puissant, le plus riche, le plus grandiose. Mais un pays de délices.
Votre vie peut être un pays de délices. Matériellement si Dieu le veut. Mais surtout de délices en Christ, dans votre relation avec lui.
Notre réputation devrait en être une de joie, de satisfaction, de bonheur. Non pas parce que nous sommes riches en argent, mais parce que nous sommes riches en Christ.
Conclusion
Conclusion
Comment se porte votre relation avec Dieu? Avez-vous une relation avec Dieu? La Parole, la prière?
Comment se porte l’aspect financier de votre relation? Parce quoi les finances font partie de notre relation avec Dieu.
Selon votre gestion financière à la lumière de ce passage biblique, Dieu est-il financièrement pour vous ou contre vous?